Mardi 12 janvier
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Par philippe2belgique
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Par philippe2belgique
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Mercredi 13 janvier
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18:46
La chanson qui épingle avec humour les dragueurs en ligne
Quelles retouches sommes-nous prêts à faire subir à notre profil pour gagner en efficacité sur un site de drague? Et disons-nous toujours vraiment toute la
vérité? C'est le thème de la chanson pleine d'humour – qui prouve bien la capacité d'autodérision des Allemands! – qu'interprète l'artiste «pop-cabaret»
Holger Edmaier, pour le compte du site
GayRomeo, créé à Berlin.
(Si vous ne voyez pas les sous-titres, cliquez en bas à droite sur ‘‘CC’’.)
un article de Têtu
Par philippe2belgique
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Mercredi 13 janvier
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19:20
Salon de coiffure le jour, mosquée pour trans et gays le
soir
«Le Monde» a consacré un reportage à une école coranique indonésienne, qui tend
la main à la communauté trans et homo, rejetée des autres lieux de culte.
Le Monde
daté de mercredi dernier (non paru en kiosques suite à un mouvement de grève à l'imprimerie), raconte l'histoire étonnante d'un salon de coiffure sur l'île de
Java, en Indonésie, qui se transforme le soir en lieu de culte musulman pour les gays et les transsexuels.
«Pratiquer librement leur religion»
Ce long reportage, intitulé avec malice
«Gays et musulmans ? Venez prier», décrit avec de nombreux détails le fonctionnement de cette école coranique un peu spéciale: «17 h 50. Le crépuscule vient de
tomber. Une dizaine d'élèves attendent déjà à la porte l'heure de la prière du soir. En jean ou voilés, Tika, Cinta, Jak et les autres appartiennent à la communauté gay et transsexuelle de
Yogyakarta. A la différence d'autres lieux de culte, celui-ci les accueille à bras ouverts. Interdits de mosquée en raison de leur orientation sexuelle, ils peuvent, dans cette école réservée
aux transsexuels, lesbiennes et homosexuels, pratiquer librement leur religion».
Présentée par Le Monde comme «un refuge qui échappe au discrimination», l'école a ainsi été créée en juillet 2008 par Mariyani, 52 ans, coiffeuse
pour dames ! «L'inégalité religieuse existe en Indonésie, explique-t-elle. Beaucoup nous considèrent comme anormaux. Certains n'osent plus se rendre dans les
mosquées de peur d'être mal traités ou mal perçus. On a pourtant le même droit de prier que les autres». Auparavant, Mariayni avait même fondé Pondok Waria, un refuge pour transsexuels.
«Tous égaux devant Dieu»
Semo Prasetyo, imam à la mosquée Mujahadah Al Fatah, approuve d'ailleurs ces initiatives : «Pourquoi les travestis n'auraient-ils pas le droit de prier ?
C'est plutôt mal vu ici de côtoyer ou d'aider ces personnes. Mais le Coran ne dit-il pas qu'on est tous égaux devant Dieu ?». Un avis pas forcément partagé par la majorité: Le
Monde rappelle ainsi que «depuis des années, les communautés gay et transsexuelle sont dans le collimateur de mouvements religieux. Des organisations, conservatrices comme le Conseil
indonésien des oulémas, traditionnelles ou plus radicales, condamnent ces pratiques».
Par Marc Endeweld
Par philippe2belgique
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Mercredi 13 janvier
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19:32
SPECIAL: D A L I D A
1933 - 1987
(part01)
Dalida, de son vrai nom Yolanda Gigliotti, est née au Caire le 17 janvier 1933. Issue d'une famille italienne immigrée en Egypte au début du siècle, elle
est la seule fille parmi deux frères, Orlando son aîné et Bruno, le cadet. Leur père, Pietro est violoniste à l'opéra et leur mère, Giuseppina s'occupe de la maisonnée, installée dans le
quartier de Choubra, où arabes et occidentaux cohabitent en bonne entente. La petite Yolanda subit dès l'âge de quatre ans sa seconde intervention ophtalmique. Ses yeux se sont infectés quand
elle avait à peine dix mois. Très marquée par ces problèmes, elle se considérera longtemps comme un "vilain petit canard" car elle sera obligée de porter des lunettes. A l'âge de treize ans,
uniquement par coquetterie, elle les jette par la fenêtre et voit ainsi son environnement complètement flou.
Elle a une enfance et une adolescence tout à fait ordinaire pour une jeune fille de la petite bourgeoisie immigrée. Elle va à l'école catholique tenue par des religieuses, se promène avec ses
camarades dans le quartier et participe aux représentations théâtrales scolaires où elle semble avoir un certain don. Adolescente, elle se destine à une carrière de secrétaire. Elle subit à
nouveau une intervention ophtalmique. Elle se rend compte que les regards ont changé à son égard. Elle ressemble maintenant à une vraie femme. En 51, elle se présente en douce à un concours de
beauté. Après publication de photos en maillot de bain, c'est le scandale dans la famille. Puis le calme revient, laissant à tous le sentiment que ce n'était qu'un moment d'égarement.
En fait, c'est le vrai déclic pour celle qui est fascinée par les actrices américaines, leur beauté et le monde dans lequel elles vivent. Dalida commence à travailler. La seconde entreprise
dans laquelle elle travaille n'est autre qu'une maison de couture, Donna. Là, elle apprend le métier de mannequin. En 54, elle se présente au concours de Miss Egypte, et gagne le premier prix.
Elle est engagée comme actrice, sorte de vamp brune à l'oil de braise, pour tourner dans des films au Caire, le Hollywood de l'Orient. Elle est repérée par un réalisateur français du nom de
Marc de Gastyne. Yolanda devenue Dalida, rêve de Paris. Malgré les réticences de sa famille, le jour de Noël 54, elle décolle pour la capitale française.
Par philippe2belgique
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