De très anciennes photos forts coquines!
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Il m’est arrivé il y a quelques semaines une histoire assez incroyable. C’était un soir d’automne, il faisait doux et je me promenais sur les quais de ma ville. Je me sentais un peu seul, mais je me sentais bien dans cet endroit que j’adore. Après avoir marché une bonne heure, je me suis assis sur un banc et rapidement, un jeune homme m’a accosté. Je crains quelques instants que ce ne soit un dealer qui voulait me vendre sa daube, mais dès que je le vis de près, je me dis que je me trompais. C’était un Arabe, probablement, et il avait un superbe visage qui respirait tout sauf l’agressivité. Je le fixai sans la moindre gêne, ravi de cette apparition. Il y avait 99% de chances pour qu’il ne fasse que passer. Mais, Dieu sait pourquoi, il me regarda et s’assit à côté de moi sans même me demander mon avis. J’en profitai pour examiner son corps. Il était vraiment bien foutu, mince et sûrement assez musclé. Mais encore fallait-il que je lui plaise, moi, qui avait bien 10 ans de plus que lui et un début de bide à bière.
J’engageai très vite la conversation. Sa voix était douce et claire. Je fixai les mouvements de ses lèvres et l’imaginais déjà en train de me tailler une bonne pipe. Ma queue surgissait hors de ma fermeture-éclair et il la saisissait de son poignait à la peau bronzée pour mieux la prendre en bouche. Il tournait sa langue autour de mon gland, ce qui me rendait fou de désir, puis enchaînait avec des mouvements toujours efficaces de va-et-vient et son habileté était telle que déjà je sentais le désir monter en moi et caressait ses cheveux courts pour l’inciter à y aller toujours plus franchement. Malheureusement, ce n’était que le fruit de mon imagination, et en réalité je l’écoutais me parler de ses études d’économie et faisais comme si ça m’intéressait, ce qui évidemment n’était pas le cas.
Non, ce qui m’intéressait c’était de marcher avec lui jusqu’à la végétation qui se trouvait non loin de notre banc, histoire d’être à l’abris d’éventuels regards, puis de le pénétrer sauvagement. Je me voyais lui ôter sa chemise blanche, caresser son torse que j’imaginais fort musclé, avant de m’occuper de son cul bien ferme. Je le léchais quelques longues secondes avant d’y enfiler ma pite expérimentée et saisissait ses hanches pour mieux le tirer contre moi et l’enculer profondément. Voilà ce qui m’intéressait.
Mon interlocuteur se mit à me parler de sa famille. Je devais sans doute parler un peu moi aussi, sinon nous n’aurions pas abordé tant de sujets. Mais je dois avouer que je ne m’en souviens pas. Je me souviens par contre que je fixais ses cuisses que je pouvais m’imaginer nues sans aucun problème. En effet, il portait des jeans assez serrés, et je voyais qu’il était musclé. Peut-être faisait-il du foot, il se peut même qu’il m’en ait parlé, mais je ne m’en souviens pas, car à ce moment-là, je me voyais accroupi en train de caresser ses jambes puis de diriger ma bouche vers ses couilles. Elles n’étaient pas énormes mais me paraissaient belles. De toute façon, après les avoir léchées, je pourrais m’occuper de son sexe qui, lui, paraissait de bonne taille. Au repos, il avait une taille modeste, mais je savais par expérience, que ça ne voulait rien dire et, une fois de plus, j’avais raison.
Une fois en érection, il était grand et bien ferme. Ce fut un réel délice de le prendre en bouche, du moins c’est comme ça que je me suis imaginé la chose. Je faisais tout rien qu’avec la bouche, car mes mains me servaient à profiter un maximum de son corps superbe. Je crois qu’il aimait particulièrement quand je passais un grand coup de langue tout le long de sa verge. Il arborait un grand sourire et s’accrochait au banc comme si une force invisible voulait l’en déloger. C’était un moment grandiose.
Il était tard, mon compagnon me fit comprendre qu’il était temps pour lui de s’en aller. Mais ce n’était pas possible. Nous n’avions rien fait. Nous avions parlé de tout et de rien, mais ça ne pouvait pas finir comme ça. Toutes les images repassaient dans ma tête en accéléré. Ce petit beur me suçait avec gloutonnerie, puis je le prenais dans les fourrés avant qu’à mon tour je n’engloutisse son membre raide. Je le dissuadai de s’en aller. Il n’était pas si tard et, à ce qu’il m’avait dit, il n’habitait pas très loin. Il me répondit que j’avais raison et que ça lui faisait plaisir de parler à quelqu’un. Sa réponse me rassura. Je le vis allongé sur le banc, entièrement nu désormais. Il était entièrement soumis et je m’approchais, le sexe bien tendu, vers son trou du cul qui était à moi.
Quel plaisir de le sodomiser, je m’y voyais déjà, même si je prenais mon temps en caressant ses cuisses. Je voulais que le plaisir ne cesse jamais. Mais je finis par pénétrer en lui. Sa peau était si douce que c’était un réel délice. Jamais je n’avais enfilé un cul aussi facilement. Mais je sentais son orifice se contracter et enserrer ma bite. J’étais déjà en transe mais il fallait que je tienne, je ne voulais pas que ça s’arrête. Je voulais le sauter toute la nuit et le recouvrir de mon foutre.
J’étais en plein délire, quand il me fit revenir sur Terre. « Excuse-moi, j’ai été ravi de discuter, mais je dois y aller, ma copine m’attend. » Est-il nécessaire de décrire ce qui me vint à l’esprit ? Je le laissai s’en aller, dépité. « A bientôt peut-être ! me dit-il. » Je lui répondis par l’affirmative, tout en sachant que je ne le reverrais sans doute jamais. Et à présent, ça m’était bien égal. Peu de temps après, je rentrai chez moi, à mon tour, et pendant quelques temps, je ne revins pas sur les quais.
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