V I D E O
"5 minets très chauds"
15 minutes avec des jolis mignons!
Bon plaisirs!
p2b
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Extrait d'un reportage de France 3 consacré à cette agression.
La police a interpellé ces derniers jours trois hommes âgés de 25 à 26 ans, soupçonnés d'avoir agressé et torturé un homosexuel dans une forêt de Rouen le 26 septembre dernier, a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Les trois hommes, qui selon cette source ont avoué aux policiers du SRPJ de Rouen chargés de l'enquête une «haine» contre les homosexuels, sont soupçonnés d'avoir roué de coups un homme de 25 ans et de l'avoir laissé pour mort dans son véhicule auquel ils avaient ensuite mis le feu. Grièvement brûlé à 30%, le jeune homme avait été secouru le lendemain matin par un jogger.
Piège
Les faits s'étaient produits dans la forêt des Essarts, un lieu de drague gay de la région. Selon leurs dires, les suspects qui circulaient en voiture vers
22h auraient été «agacés» par la victime, qui leur aurait fait un appel de phares. Ils auraient alors décidé de jouer le jeu en répondant à ses appels pour lui tendre un piège. Deux des
suspects s'étaient cachés à l'arrière de la voiture et au moment de la rencontre, les trois hommes s'étaient jetés sur la victime et l'avaient frappée à coups de pieds, de poings et de crosse
de pistolet.
Deux des suspects ont été interpellés mercredi à Grand-Couronne, dans la banlieue de Rouen, et mis en examen pour tentative de meurtre aggravée et actes de torture et barbarie aggravés et incarcérés. Le troisième a été interpellé jeudi à Nantes et était toujours interrogé par la police vendredi soir.
L'Inter-LGBT a eu une sacrée surprise en découvrant la retranscription d'un discours aux abords anodins de la ministre de la Justice. En jeu, une réforme envisagée du pacs dont l'interassociative n'avait jamais eu connaissance.
Au détour d'un discours devant une assemblée de spécialistes du droit le 28 janvier, à l'occasion des Etats généraux du notariat au Zénith de Paris, Michèle Alliot-Marie a en effet dévoilé ce projet insoupçonné afin de favoriser «l'accessibilité du droit» et «conforter les notaires dans leurs missions»: permettre une signature du pacs devant le notaire.
«Aujourd'hui, lorsque les partenaires décident de passer par un notaire pour rédiger la convention organisant leur vie commune, la double intervention du greffier et du notaire peut être une source de lenteur, de complexité et de coûts», a exprimé la ministre. «Une fois les conventions rédigées par les notaires, je souhaite que ceux-ci puissent effectuer directement les formalités d'enregistrement en lieu et place du greffier en chef», annonce-t-elle.
«Hors sujet, anachronique»
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