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Mercredi 23 décembre 3 23 /12 /Déc 21:25
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-NOEL-etoile mauve
"Après la fête"

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En fin de soirée d'une fête, la personne chez qui j'étais invité, m'avait amené dans une ancienne maison situé sur les hauteurs de la ville bien retirée, trés calme afin de me reposer calmement pour que je puisse faire face au long voyage du lendemain. Au pas de la porte un jeune nous ouvrit Omar il s'appelait, son beau frère .
- Voila c'est la campagne ici, je te laisse avec Omar, il est seul car toute la famille est chez nous à la fête, je te verrais demain vers 10h 30 - bonne nuit me lança t il.
etudiant-calen-drier-carre.jpg Le jeune brun agé de 24 ans trés beau me dirigea vers la chambre avec un beau sourire, il y avait 2 canapés et un matelas sur un grand tapis.
Il me remis un short et m'invita de prendre une douche, je le suivais jusqu'a la salle d'eau sans porte ni rideau, je profitais qu'il avait le dos tourné, je me suis deshabillai et me glissai sous l'eau.
Un petit moment après, Omar etait immobile debout derriere moi, une petite glace en face de moi me servait de retroviseur, il avait les yeux fixés sur mon derriere bombé, je faisais semblant de l'ignoré , mon coeur battait trés fort, tout en caressant entre mes fesses et souvent je me rabaissé comme pour lavé mes pieds afin de lui montrer mon anus épilé , mon coeur battait trés fort, il était encore là à scanner tout ce qui lui plaisait.
Plus tard dans la chambre, Omar sortant de la douche lui aussi se dirigea vers le canapé en face de moi , je le voyai parfaitement grace à la lueur clair de la lune traversant les vasistas, il était trés beau sportif il avait enlevé son tee shirt et son survête il avait gardé que son slip avec une enorme bosse devant ...je faisais semblant de dormir.....
il s'étirait comme s'il était fatigué, puis ses mains se posaient sur sa bosse, il se caressa un moment puis plongea sa main dans son slip comme pour remettre en ordre certaines choses . Doucement je baissai legerement mon drap au bas de mes fesses , je soulevais légèrement mon bassin ,il y avait un silence terrible, j'avais envie je ne l'avais jamais fait et pourtant je sentais mon anus qui me demangé, il se contractait, il s'humidifiait dans l'attente d'une quelque chose. Mon bas-ventre me faisait mal, ma repiration s'entrecoupait, mon sexe était en érection totale, il se passait en moi des choses etranges ... Une envie folle de toucher ce jeunot...

Je gardais mon visage plongé dans mes bras repliés. Je le guettais cet ange, je commençais à avoir encore plus chaud quand le jeune homme venait d'enlever son slip pour se branler librement en fixant mon derriere , mon regard fut attiré par son sexe plaqué jusqu’au nombril. Il m’a semblé gigantesque, incroyablement nervuré de grosses veines gonflées, prêtes à exploser. je relevais encore un peu plus mon bassin et toujours en balançant mes hanches comme pour ouvrir naturellement mon anus et le lui offrir, l'inconnu me rejoignit à quatres pattes lentement comme un vrai felin.
J'ai senti une décharge électrique provenant de je ne sais où, je ferme les yeux pour une seconde, j'ai senti un plaisir, je ne dis rien. Je sentais ses doigts s'insinuer dans ma raie, se dirigeant doucement vers mon trou vierge, le contournant , une sacré caresse. Je le laissai faire en fermant les yeux. Il remonte ses doigts, continue vers mon anus, ses doigts deviennent de plus en plus doux. _corps_nov3009_--6-.jpg
j'avais toujours mon bassin relevé. Un formidable choc émotionnel pour moi qui découvrait une réalité insoupçonnée. Omar voulut se réajuster, mais ma main l’en empêchât, je n'en pouvais plus, en saisissant son sexe qui frémit sous l’étreinte. C’était chaud, dur comme du bois mais incroyablement velouté. Mes doigts, que je ne pouvais pas refermer, formaient au mieux de mes pressions un « C », qui parcourait le membre de haut en bas. J’étais hypnotisé par le côté irréel de ce que je voyais, de ce que je touchais, palpais, soupesais, pressais…un vrai bras , un tronc velouté. Après quelques caresses et avoir échangé de trés tendres baisers, il s'allongea sur le dos, je montais sur lui en califourchon lui offrant mon anus devant ses yeux ,tout près je le sentais ce sexe, tout prés de mes lèvres entrouvertes , ma respiration s'accentue, je caressais du bout de ma langue toute sa longueur, ma bouche ouverte, je faisais plusieurs fois le tour du gland lui donnant de legers coups de dents du haut en bas, je le prenai comme pour esseyer de l'avaler, sa premiere moitié etait au fond de ma gorge, je sentais soudain sa langue dans la raie de mes fesses, Il me caressa ce qui eut le don de me faire frissonner. je lachai ma proie pour aller coller mes levres sur les siennes trés chaudes et douces, nus tout les deux entrelacés, jouant et circulant nos langues pendant un moment.
Comme un eclair, il a été chercher du gel , il m'a lubrifié l'anus comme pour s'amuser, je me suis mis sur lui en califourchon encore une fois ouvert à lui, mes lèvres collés aux siennes , j'avais une trés forte envie. Son autre main était partie en exploration sous mes fesses. Il titilla doucement mon trou avant d'enfoncer un doigts et plus deux dans l'anus chaud humidifié. Je le laissais faire. Mieux, je soulevais mon bassin pour qu'il puisse me pénétrer le plus loin possible. Je me contractais pour mieux l'enserrer en moi. C'était nouveau et surtout très excitant. Les caresses me procuraient un plaisir fou et indéniable , je découvrais que j'étais sensible des fesses, . Il me glissa deux et trois doigts dans le cul, et doucement me demanda s'il pouvait me prendre , et je ne sais pas pourquoi je lui ai dit "oouuii mais doucement" car pour moi c'est la premiere fois. Je me remis à quatres pattes ,
Secrètement j’avais l’angoisse de ce qui allait arriver. Comment, mais comment j'allais pouvoir m'offrir à lui ? Lentement, avec beaucoup de douceur, il entreprit de me dilater encore une fois avec un, puis deux doigts qu’il maniait avec douceur pour détendre le pourtour de mon anus tout neuf, pas du tout programmé pour avaler un zeb pareil.
Il me demanda de m’écarter le plus possible et de me cambrer au plus que je pouvais. J’étais fébrile, de désir et d’angoisse. Il promena son gland énorme de haut en bas de ma raie, en s’attardant sur mon anus. Je perdais tout contrôle en sentant pousser délicatement son sexe sur mon trou. Je poussai moi aussi...

L'homme comprit le message, sachant que je poussai pour recevoir ce beau sexe. Empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit trou.

vg-03-27-03.jpgLe désir de le recevoir avait aussi fait son œuvre et j’étais détendu. Il poussa un peu plus fort qu’à l’ordinaire et le gland ouvrit un peu le chemin. Mais pas sans douleur. Etrange sensation qui mêle jouissance et douleur. Mes gémissements le guidaient dans ses efforts. Il maintenait la pression de la hampe, et de ses mains il écartait sans relâche mes fesses, à droite, puis à gauche, en tirant sur le bord des lèvres qui enserraient le gland.

Son gland s'enfonça doucement. Je contrôlais la pénétration. j'ai eu trés mal. J'arrêtais la progression pour reprendre ma respiration. Je contractais le conduit anal en rythme pour mieux le détendre.
De ses hanches, il impulsait à son sexe des mouvements latéraux qui participaient également à l’intromission. Sans brusquerie aucune, mon anneau cédait millimètre par millimètre à la manière dont le boa avale des proies énormes.
Le gland progressa, il passa l'obstacle de l'orifice etroit, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de moi.
Pour la première fois, j'avais un sexe d'homme dans mon cul, je respirais trés fort, La pénétration était profonde, puissante. Je râlais de plaisir. Sa queue était longue et épaisse. Le gland introduit, le reste bien lubrifié glissa moins douloureusement. Je me sentais plein de lui. Totalement rempli par cette chair turgescente qui commençait à remuer au plus profond de moi, éveillant une sensation inconnue de jouissance-douloureuse. Je me sentais plein totalement rempli par cette chair chaude qui commençait à remuer au plus profond de moi, éveillant une sensation inconnue de jouissance, il s'arrêta quelques instant le temps de m'habituer puis doucement continua sa poussée. Je sentais sa hampe disparaître petit à petit dans mon trou. Il commença à me limer pour une bonne quinzaine de minutes la douleur s'est dissipé se transforma en une extase indéfinissable il accelera son longt va et vient en enfonçant bien au fond , je sentais le morceau qui glissais en moi avec des coups de lime lentes il accelera encore une fois .Omar devait être lui aussi au bord de l’explosion , il gemissait ,je m'ouvrais totalement en poussant derriere pour recevoir le membre completement, Il m'amena à l'ultime jouissance. Tout mon corps tressauta, tellement c'était puissant, il cracha son sperme chaud dans mes entrailles, pendant que moi-même j'éjaculais. Vous me croirez ou pas, mais je jure avoir parfaitement senti dans le même temps deux jets chauds successifs de sperme crachés avec force.
Il est resté dans mes entrailles pendant une quinzaine de minutes jusqu'à ce que son sexe s'était ramolli. Nous sommes retombés l’un contre l’autre. Son sexe a débandé lentement, lui encore en moi. Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la forme de la queue de Omar .
J’ai gardé durant une semaine la délicieuse sensation de ma dilatation, réveillée par chaque contraction volontaire.

 

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Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique histoires érotiques gays - Communauté : Communauté gay
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Mardi 12 janvier 2 12 /01 /Jan 00:45
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"L’INTERNAT"

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Mon lit était à droite de la porte d’entrée de notre chambre.
Le sien était en face, a gauche.
Pendant 2 ans, on a dormis dans la même chambre.
Et pourtant au début, c’était pas simple, on se parlait pas ou peu. Il y’avait un froid glacial entre nous. Très peu de mots échangés, très peu de regards envoyés. Puis au fil du temps, on a appris a se connaître, a rire, a délirer. On mangeait ensemble, au self, chaque midi et chaque soir.
On s’échangeait des habits, bref, on s’aimait bien.
Jérémy, était du style très calme, très posé, alors que moi je suis plutôt fou, exubérant, et spontané. Il était toujours bien habillé, bien coiffé. Très studieux, il voulait décrocher son BEP coiffure.
Etre le meilleur de la classe, mais sans se prendre la grosse tête.
Les soirs on rentrait ensemble a l’internat, on étudiait, on s’interroger chacun son tour pour les interros diverses du lendemain. Puis après on allait à la douche.
J’adorais le regarder se déshabiller, pour mettre sa serviette autour de son bassin, le voir nu m’excitait.
Il avait un tatouage en bas du dos, qui ressemble a une feuille d’érable je pense. Il était musclé comme j’aime, blond cendré, yeux vert.
Des rondeurs, où je rêvais de passer ma langue .Son fessier, m’a fait fantasmer plus d’une fois. J’aimais le voir avec sa serviette autour de lui.
Même comme ça, je distinguais, la forme de son sexe.

Il était toujours très long a se préparer pour aller se laver.
Mais quand il était prêt on rejoignait nos douches dans un brouhaha presque insupportable pour les autres.
Chacun se lavait de son coté et on se parlait de l’autre côté du mur qui nous séparait.
On trouvait le moyen de rire, aux éclats même sous la douche. Dés notre sortie, on rejoignait notre chambre, on s’habillait si on devait sortir.
On recommençait des discussions sans fin, on refaisait le monde.
Il adorait parler, il a voix très légère, très fluide.
On aurait cru que les mots sortaient sans qu’il ait besoin d’articuler. Je prenais le plaisir de l’écouter, jamais je me lassais.

En fait, le quotidien qu’on avait adopté était une routine fascinante, car ni l’un, ni l’autre montrait un signe de faiblesse a cause de l’habitude que l’on avait apporté l’un a l’autre. Mais jusqu’au jour où il a voulu changer la donne….
C’était mardi soir, d’habitude, il m’attendait en bas du bâtiment des salles de cours.

Ce jour-là, je me suis retrouvé tout seul.
J’ai traversé la cour, puis le parking de l’internat.
Je montais le premier étage, puis le deuxième, je pris le couloir, pour rejoindre ma chambre.
La porte était ouverte, je me suis dis « ah, il est déjà entré ».
Jérémy était sur son lit, une main sur son classeur, l’autre sur sa braguette. Il me dit « excuse moi je ne t’ai pas attendu, parce que le surveillant m’a dit que ma mère avait appelée, j’ai donc voulu la joindre pour se savoir ce qui se passait ».

En fait rien de grave, je lui dis qu’il n’y a aucun problème.
J’enlève ma veste, mon pull, mon jean, je décide d’aller me laver.
« Tu vas à la douche » dit-il.
« Oui, comme ça ce sera fait ».
« Attends moi, on y va ensemble », rajoute-t-il.
Il se déshabille, je le scrutais doucement, j’adorais regarder son bassin.
Nous voilà partis a la douche . Comme d’habitude, on mettait un bordel monstre chacun de notre coté.
Je sors de la douche en premier, je frappe à sa porte. Il sort, la serviette autour de lui. Il était tout frais.
On retourne dans la chambre, j’entre le premier, il me suivait de très prés. Il ferme la porte, je me retourne, il avait retiré sa serviette.
Il bandait.
« Ca te tente ? « me demande-t-il.
Mes souvenirs sont vagues, je sais a peine ce que j’ai répondus à cet instant. Je me suis approché, je me suis mis a genoux, et je l’ai sucé.
Il était contre la porte de la chambre . Il tenait la poignée, en faisant attention que personne ne rentre, sanspermission.
J’avais faim de sexe, depuis le temps que j’y attendais .J’ai pris le temps de languiser ma langue sur son sexe si dur, si frais.
Je passais mes mains sur ses testicules, elles étaient parfaites, bien rondes, bien dessinées.
Je caressais ses cuisses. Je rêvais d’une seule chose c’en d’avoir son liquide blanchâtre dans la bouche.
Il mit ses mains sous mon menton, pour me faire comprendre de me lever.
Il m’embrasse, tout en retirant ma serviette. Je bandais aussi.
Il m’embrassait dans le cou, il me branlait . J’avais cet extase en moi. Je devenais fou, je n’arrivais plus a suivre tant je ressentais du plaisir.
A partir de là, tout a était très vite.
Il me retourna, se baissa, commença a mouiller mon orifice du bout de sa langue.
Il enfilait un doigt, deux doigts . On était accroupis au milieu de la chambre. Toujours devant la porte.
Il ne pouvait plus attendre, son envie était trop forte.
Il enfila son abdomen, doucement, très doucement, je le sentais encore se durcir dans mon orifice.
Il y’avait mis beaucoup de légèreté, son va-et-vient était irréprochable …Il faisait tourner son gland sur les bords de mon entrée qu’il avait soigneusement dilatée.
Il se couchait sur moi, son sexe claquait.
Pas un seul gémissement sortait de notre bouche, et pourtant c’était pas l’envie qui nous manquait.
Il gardait son allure, on suait, et, dans l’oreille, il me disait « j’ai envie de jouir, j’ai vraiment envie ». Mais il continuait, il se retenait, il voulait garder le plaisir . Mais il n’en pouvait plus.
Il se retira doucement en y remettant un doigt délicatement. Il se mit à jouir sur mon arrière train, rien qu’à la fluidité de son sperme, j’ai constaté, qu’il avait eut en lui, une envie de me baiser et une excitation intense qui durait depuis trop longtemps.
Il essuyait doucement son jus avec son gland, se recoucha sur moi, m’embrassa.
Pris mon sexe dans sa main, il me branla a nouveau.
A la chaleur de la paume de sa main, je jouissais sur le sol . Il caressait mon sexe, tout en nettoyant mon gland avec ses doigts.
Se mit les doigts dans la bouche, puis caressa la mienne.
On échangeait de longs câlins et de longs essoufflements.
Il se leva, s’habilla.
Je fis de même.
Le surveillant ouvra la porte, sans frapper, pour nous demander, si les lunettes de vue qui avaient été oublier dans les douches, n’étaient pas a l’un de nous.On l’avait échappé belle .Ouf !

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philippe2belgique
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Mercredi 27 janvier 3 27 /01 /Jan 22:31
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"Les quais"

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Il m’est arrivé il y a quelques semaines une histoire assez incroyable. C’était un soir d’automne, il faisait doux et je me promenais sur les quais de ma ville. Je me sentais un peu seul, mais je me sentais bien dans cet endroit que j’adore. Après avoir marché une bonne heure, je me suis assis sur un banc et rapidement, un jeune homme m’a accosté. Je crains quelques instants que ce ne soit un dealer qui voulait me vendre sa daube, mais dès que je le vis de près, je me dis que je me trompais. C’était un Arabe, probablement, et il avait un superbe visage qui respirait tout sauf l’agressivité. Je le fixai sans la moindre gêne, ravi de cette apparition. Il y avait 99% de chances pour qu’il ne fasse que passer. Mais, Dieu sait pourquoi, il me regarda et s’assit à côté de moi sans même me demander mon avis. J’en profitai pour examiner son corps. Il était vraiment bien foutu, mince et sûrement assez musclé. Mais encore fallait-il que je lui plaise, moi, qui avait bien 10 ans de plus que lui et un début de bide à bière.

 

_corps_nov3009_--4-.jpgJ’engageai très vite la conversation. Sa voix était douce et claire. Je fixai les mouvements de ses lèvres et l’imaginais déjà en train de me tailler une bonne pipe. Ma queue surgissait hors de ma fermeture-éclair et il la saisissait de son poignait à la peau bronzée pour mieux la prendre en bouche. Il tournait sa langue autour de mon gland, ce qui me rendait fou de désir, puis enchaînait avec des mouvements toujours efficaces de va-et-vient et son habileté était telle que déjà je sentais le désir monter en moi et caressait ses cheveux courts pour l’inciter à y aller toujours plus franchement. Malheureusement, ce n’était que le fruit de mon imagination, et en réalité je l’écoutais me parler de ses études d’économie et faisais comme si ça m’intéressait, ce qui évidemment n’était pas le cas.

 

Non, ce qui m’intéressait c’était de marcher avec lui jusqu’à la végétation qui se trouvait non loin de notre banc, histoire d’être à l’abris d’éventuels regards, puis de le pénétrer sauvagement. Je me voyais lui ôter sa chemise blanche, caresser son torse que j’imaginais fort musclé, avant de m’occuper de son cul bien ferme. Je le léchais quelques longues secondes avant d’y enfiler ma pite expérimentée et saisissait ses hanches pour mieux le tirer contre moi et l’enculer profondément. Voilà ce qui m’intéressait.

 

Mon interlocuteur se mit à me parler de sa famille. Je devais sans doute parler un peu moi aussi, sinon nous n’aurions pas abordé tant de sujets. Mais je dois avouer que je ne m’en souviens pas. Je me souviens par contre que je fixais ses cuisses que je pouvais m’imaginer nues sans aucun problème. En effet, il portait des jeans assez serrés, et je voyais qu’il était musclé. Peut-être faisait-il du foot, il se peut même qu’il m’en ait parlé, mais je ne m’en souviens pas, car à ce moment-là, je me voyais accroupi en train de caresser ses jambes puis de diriger ma bouche vers ses couilles. Elles n’étaient pas énormes mais me paraissaient belles. De toute façon, après les avoir léchées, je pourrais m’occuper de son sexe qui, lui, paraissait de bonne taille. Au repos, il avait une taille modeste, mais je savais par expérience, que ça ne voulait rien dire et, une fois de plus, j’avais raison.

 

Une fois en érection, il était grand et bien ferme. Ce fut un réel délice de le prendre en bouche, du moins c’est comme ça que je me suis imaginé la chose. Je faisais tout rien qu’avec la bouche, car mes mains me servaient à profiter un maximum de son corps superbe. Je crois qu’il aimait particulièrement quand je passais un grand coup de langue tout le long de sa verge. Il arborait un grand sourire et s’accrochait au banc comme si une force invisible voulait l’en déloger. C’était un moment grandiose.

 

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Il était tard, mon compagnon me fit comprendre qu’il était temps pour lui de s’en aller. Mais ce n’était pas possible. Nous n’avions rien fait. Nous avions parlé de tout et de rien, mais ça ne pouvait pas finir comme ça. Toutes les images repassaient dans ma tête en accéléré. Ce petit beur me suçait avec gloutonnerie, puis je le prenais dans les fourrés avant qu’à mon tour je n’engloutisse son membre raide. Je le dissuadai de s’en aller. Il n’était pas si tard et, à ce qu’il m’avait dit, il n’habitait pas très loin. Il me répondit que j’avais raison et que ça lui faisait plaisir de parler à quelqu’un. Sa réponse me rassura. Je le vis allongé sur le banc, entièrement nu désormais. Il était entièrement soumis et je m’approchais, le sexe bien tendu, vers son trou du cul qui était à moi.

 

Quel plaisir de le sodomiser, je m’y voyais déjà, même si je prenais mon temps en caressant ses cuisses. Je voulais que le plaisir ne cesse jamais. Mais je finis par pénétrer en lui. Sa peau était si douce que c’était un réel délice. Jamais je n’avais enfilé un cul aussi facilement. Mais je sentais son orifice se contracter et enserrer ma bite. J’étais déjà en transe mais il fallait que je tienne, je ne voulais pas que ça s’arrête. Je voulais le sauter toute la nuit et le recouvrir de mon foutre.

 

J’étais en plein délire, quand il me fit revenir sur Terre. « Excuse-moi, j’ai été ravi de discuter, mais je dois y aller, ma copine m’attend. » Est-il nécessaire de décrire ce qui me vint à l’esprit ? Je le laissai s’en aller, dépité. « A bientôt peut-être ! me dit-il. » Je lui répondis par l’affirmative, tout en sachant que je ne le reverrais sans doute jamais. Et à présent, ça m’était bien égal. Peu de temps après, je rentrai chez moi, à mon tour, et pendant quelques temps, je ne revins pas sur les quais.

 

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Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique histoires érotiques gays - Communauté : gay party
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Mardi 2 février 2 02 /02 /Fév 23:54
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Portrait: Confidentiel

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Je voulais simplement te dire
Que ton visage et ton sourire
Resteront près de moi, sur mon chemin

Te dire que c'était pour de vrai
Tout c'qu'on s'est dit, tout c'qu'on a fait
Qu'c'était pas pour de faux, que c'était bien

Faut surtout jamais regretter
Même si ça fait mal, c'est gagné
Tous ces moments, tous ces mêmes matins

J'vais pas te dire qu'faut pas pleurer
Y'a vraiment pas d'quoi s'en priver
Et tout c'qu'on n'a pas loupé, le valait bien

Peut-être on se retrouvera
Peut-être que peut-être pas
Mais sache qu'ici bas, je suis là

Ca restera comme une lumière
Qui m'tiendra chaud dans mes hivers
Un petit feu de toi qui s'éteint pas

 

Jean-Jacques Goldman 

Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique histoires érotiques gays - Communauté : gay party
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Jeudi 29 avril 4 29 /04 /Avr 21:42

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TRANS: UNE NUIT À GENÈVE

 

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Chaque année nous passions, mes amies d'enfance et moi, l'été à la campagne. Nous avions toutes plus ou moins la vingtaine et, même si certaines d'entre nous avaient un boulot sérieux depuis quelques temps déjà, les autres étudiaient encore à l'université. Pour ne pas se perdre de vue et ne pas abandonner notre jeunesse si tôt, Chloé, Christèle et moi, aimions à prendre nos cinq semaines de vacances pendant les mois d'été afin de les passer avec nos copines toujours étudiantes, Léa et Mélanie. Cette année, nous avions toutes été d'accord pour passer l'été en Suisse, où Mélanie comptait fonder un jour une famille.


La chaleur était installée depuis peu dans notre petit bourg de Noyon-en-Oise. Demain était le jour du départ et Mélanie avait insisté pour m'aider à préparer mes bagages (nous partagions le même appartement), les siens attendant depuis plusieurs jours à côté de la porte.

- Alexia, tu ne peux tout de même pas apporter ce bikini immonde en Suisse, tu auras honte d'être ainsi affublée si tu savais à quel genre d'hommes nous pourrions nous frotter, m'affirma-t-elle d'un ton presque suppliant, appuyé d'un regard coquin qui ne laissait aucun doute sur ses intentions scabreuses.

Je crus alors voir des lacs d'eau cristalline nichés dans les paysages montagneux de la Suisse, des plages de sable fin qui s'étendaient vers un horizon parsemé de vallons et de collines, des ballades en cheval dans les rues pittoresques de Baden, sans parler de la magnificence légendaire de Zurich, de Genève et de Lausanne ! Mélanie, elle, semblait encore s'être perdue dans ses pensés lubriques, et cela me fit sourire. En temps et lieu, nous pourrions nous adonner à toutes nos passions, aussi différentes soient-elles. Et si j'étais certaine que Mélanie ne manquerait pas d'attirer de beaux mâles vers nous en Suisse, c'est moi qui, comme toujours, ferait office de guide touristique. Sans moi, mes quatre copines s'en tiendraient à la baise, aux orgies, à la débauche, quoi !

Je me débarrassai finalement de ce bikini en l'envoyant valser au fond de ma garde-robe comme je le faisais avec tous mes vêtements passés mode.

- Alors, tu préférerais peut-être que je m'affuble de celui-ci ! dis-je en me retournant vers elle avec un maillot une pièce encore plus risible que le précédent.

- Oh oui, si tu comptes te taper de vieux bonhommes aveugles, tu feras certainement fureur !

Je mis fin à ses railleries en l'envoyant tenir compagnie à l'autre laideur au fond de la penderie. Je trouverais bien un joli bikini quelque part en Suisse ou alors il nous faudrait dénicher une plage nudiste ! Mélanie, pour qui le style importait plus que tout autre chose et qui était toujours admirablement fringuée, acquiesça en soupirant avant de se diriger vers sa chambre où elle tomba sur son lit, crevée par tant de préparatifs. J'avais toujours été un garçon manqué, et ce n'est que tout récemment que Mélanie, le canon de notre clique, et Léa, une autre bombe super bien fringuée, m'ont convaincue ou plutôt contrainte à affirmer ma féminité. J'avais donc troqué, à contrecœur, mes jeans amples et t-shirt originaux pour des jupes courtes et des débardeurs pailletés, mes baskets et ma casquette pour des talons de six centimètres et des pinces à cheveux roses bonbons. Je me trouvais ridicule ainsi relookée mais je ne me sentirais jamais plus ridicule, qu'à la soirée du bal des finissants, où toutes mes amies avait obtenu des avances alors qu'aucun mec n'avait même posé le regard sur moi. Lorsque le lendemain, mes copines m'avaient raconté leur dépucelage "extraordinaire", je m'étais renfrognée, ressentant pour la première fois de la jalousie envers mes copines. Mon problème, selon Léa et Mélanie, et secrètement Chloé et Christèle, deux filles marginales mais deux filles méga sexy tout de même, était mon style. J'étais ringarde en d'autres mots. Je ne pouvais le nier alors je me suis ralliée à leur idée. Elles m'ont toutes accompagnée dans les boutiques, ce qui faisait leur bonheur mais qui fut une humiliation pour moi. Je me trouvais complètement ridicule, affublée de tous les chichis féminins inventés pour satisfaire les fantasmes masculins. J'avais toujours été rationnelle, intellectuelle, en comparaison de mes amies qui étaient toutes de frivoles courtisanes. Cette journée-là pourtant, j'étais rentrée chez moi avec une douzaine de sacs de vêtements sexy...

Je m'endormis tôt également ce soir-là, en rêvant de monts et de vaux, en m'imaginant être déjà là-bas, les pieds dans l'eau, le visage tourné vers le soleil. Notre avion atterrit à Genève le lendemain après-midi. Léa avait réservé une chambre d'hôtel pourvue de deux grands lits. Mélanie choisit le premier lit, Léa s'installa à ses côtés alors que Christèle et Chloé avait déjà sauté sur le deuxième lit. Pour ma part, j'avais préféré me rendre sur le balcon qui offrait une vue imprenable sur Genève.

Lorsque je sortis de ma rêverie et que je déposai mes bagages sur le lit, je constatai que Léa et Mélanie s'étaient entre temps enfermées dans les toilettes pour se rafraîchir. Nous les entendions glousser joyeusement comme les écervelées qu'elles étaient. Christèle et Chloé, les inséparables délurées, se vernissaient les ongles sur leur lit commun en débattant sur le meilleur endroit nocturne pour entamer la chasse aux mecs. Je roulai des yeux et leur annonçai que j'allais faire un petit tour dans les boutiques pour me trouver un maillot alors que je souhaitais seulement échapper à cette conversation qui n'irait nul part. Elles me demandèrent seulement d'être revenue avant que la noirceur n'inonde la ville. On ne s'était jamais séparées la nuit dans un pays étranger, c'était la seule règle de voyage de notre clique.

Les rues étaient pleines, les terrasses et les café, combles. J'adorais les villes pittoresques où les habitants n'étaient pas pressés par le temps, où l'on prenait le temps de vivre. Je m'arrêtai à plusieurs endroits de la ville pour prendre des photos. Les attractions touristiques ne manquaient pas ; le grand jet d'eau Geneva, le jardin botanique surmonté de sa coupole en verre, le square du Mont-Blanc et la cathédrale St-Pierre, pour ne nommer que celles-là.

J'observais le parc Bertrand sur la rive gauche de Genève, avec ses séquoias géants et ses hêtres pourpres. Depuis la rive droite où je me trouvais, je ne voyais que splendeur ! Mais le soleil couchant me rappela que, pour aujourd'hui, le tourisme était fini. Il me fallait maintenant aller chasser dans les clubs pour faire plaisir à mes amies nympho. En revenant à l'hôtel, je repérai un club qui plairait sûrement à mes copines.

Lorsque j'entrai dans la chambre avec cette bonne nouvelle, j'eus droit à quelques moqueries. C'est Mélanie qui, comme toujours, partit le bal :

- Tu es sûre que c'était un club... Et pas simplement un monument historique que tu aurais pris pour un club ?

Je m'esclaffai de rire et m'engouffrai dans les toilettes pour me préparer et surtout ne pas être sujette à d'autres moqueries. Les quatre filles étaient déjà prêtes à aller dîner au restaurant, ensuite la fête pourrait commencer. J'enfilai une robe de soirée noire, très simple, mais assez courte, avec décolleté plongeant. J'aimais bien les robes, je m'y sentais à l'aise. Je me trouvai même attirante ce soir. J'avais le cœur à la fête finalement !

Dans le club, Chloé, la gothique de la clique, jeta son dévolu sur un joli mec en pantalon de cuir et t-shirt moulant, un blond aux cheveux figés par du gel, sur lequel elle finit par s'asseoir. Il était vraiment beau mais il semblait obnubilé par Christèle, notre antique amie qui s'habillait de styles de toutes époques sauf de la nôtre. Ce soir, elle avait enfilé un corset qui lui arrivait en haut du nombril et qui dévoilant avec force sa majestueuse paire de seins ronds ainsi qu'une longue jupe lacée de chaque côté. Sa coiffure haute lui donnait un air de noble princesse et ses bijoux antiques en étain offraient un contraste admirable avec sa peau laiteuse. Heureusement pour cette pauvre Chloé, Christèle remarqua l'intérêt du mec et l'ignora jusqu'à ce qu'elle se soit dégoté un mec à son goût. C'était un beau blond ressemblant comme deux gouttes d'eau au mec de Chloé. Son jumeau sans aucun doute !

Léa et Mélanie avaient été les premières à séduire les mecs de la place et à s'en choisir un. Un beau grand brun avait invité Léa à danser tandis qu'un superbe Black avait convié Mélanie à boire un martini au bar en sa compagnie. L'histoire se répétait dans mon cas, et je me rendis au bar pour me commander un énorme pichet de bière. Je voulais me saouler, alors je serais peut-être moins coincée et je ne serais plus une épine dans le pied de mes amies. Elles souffriraient vraisemblablement de me voir finir encore seule. J'étais bloquée lorsque je devais faire les premiers pas et les beaux mecs venaient rarement vers moi sauf peut-être pour s'informer sur mes belles copines.

Au bar, il y avait une femme d'une trentaine d'années, les cheveux roux, le regard émeraude. Malgré ses épaules plus larges que la moyenne des femmes, elle avait des jambes interminables qu'elle croisait élégamment. Je m'assis à ses côtés sans la saluer et commandai un gros pichet de blonde. Je la vis, du coin de l'œil, sourire devant tant d'audace de la part d'une jeune femme comme moi. Lorsque j'eus vidé la moitié du pichet, elle s'exclama sur le ton de la blague :

- Hey cocotte, tu es en peine d'amour ? Je n'ai jamais vu une femme ingurgiter autant de bière, aussi vite !

Voyant que je ne réagissais pas, elle ajouta sur le ton du conjuré :

- À part moi, bien entendu !

La bière, qui commençait à faire son effet, m'inspira un peu d'audace. Je lui répondis donc du tact au tact, avant de boire mon dernier verre :

- Ça reste encore à prouver !

Je lui avais ainsi lancé un défi. Sans me répondre, elle fit signe au barman de nous servir la même chose mais en triple ! Elle garda deux pichets pour elle et en vida un en moins de temps qu'il ne m'en avait fallu pour le faire. Nous avions donc chacun un pichet à boire, et j'étais déjà étourdie !

- Voilà ce qu'on va faire, dit-elle, un peu bourrée. Celle qui termine le pichet la dernière sera l'esclave sexuelle de l'autre !

Pareille histoire me faisait froid dans le dos mais c'était enfin ma chance de prouver à mes amies et à moi-même que je plaisais. Cela même si c'était une femme !

- Ok, à trois, c'est parti... Un, deux, trois…

Je levai mon pichet, je le cognai contre le sien et nous bûmes aussi longtemps que nous le pouvions. J'en étais aux dernières gorgées lorsqu'il me fallut prendre une petite pause, alors que ma rivale continua et vida le pichet avant même que j'ai pu tremper à nouveau mes lèvres dans le liquide doré ! Lorsque nous nous levâmes pour quitter le club et nous rendre à son hôtel, comme convenu, il nous fallut nous tenir par le bras pour ne pas s'affaler au beau milieu de la piste de danse. Je croisai Chloé et Christèle, bien bourrées elles aussi, aux bras de leur jumeau. Je leur criai que nous nous retrouverions à l'hôtel mais visiblement, elles seraient parties sans moi et sans me le dire de toute façon. Léa et Mélanie, quant à elles, avaient disparu sans nous en avertir. Après avoir cherché dans les toilettes, aux tables du fond, au bar et sur la piste de danse, j'haussai les épaules et je rejoignis ma "maîtresse pour la nuit".

J'étais un peu nerveuse en entrant dans sa chambre d'hôtel, en premier lieu parce que j'étais encore vierge et donc inexpérimentée, et en deuxième lieu, parce que c'était moi l'esclave. Cependant, elle fut d'emblée une maîtresse agréable. Elle s'approcha de moi, elle devait bien faire une tête de plus, et me prit par les épaules pour m'observer de plus près. Elle fit glisser ma robe noire le long de mon corps, passa ses tendres doigts sur ma peau parsemée de frissons, effleura ma chatte au passage avant de passer un doigt sous l'élastique de ma petite culotte afin de me l'enlever. Ma respiration se fit de plus en plus forte et bientôt, je fus également libérée de mon soutien-gorge. Elle touchait mon corps comme s'il s'agissait du trésor le plus précieux du monde et cela me fit mouiller comme jamais. Elle s'accroupit, me dévoilant ses seins dans son décolleté, et écarta les grosses lèvres de ma chatte pour lécher l'intérieur. Elle lécha partout sauf sur mon clitoris, elle faisait même pénétrer sa langue dans mon vagin trempé. Elle prenait mes fesses à deux mains et les léchait sans cesse, du moins jusqu'à ce que je devienne complètement dingue. Soudain, je pris sa tête entre mes mains, en lui agrippant les cheveux, et lui désignai l'endroit où elle devait lécher en cambrant le dos. Un flot de cyprine s'échappa alors de ma moule et ma maîtresse s'empressa de tout nettoyer avec sa langue !

Lorsqu'elle se releva toutefois, un truc dur et long apparut à travers sa jupe, ce qui donnait l'impression qu'une tente y était montée ! Je restai d'abord pantoise devant la chose mais je me repris à temps, alors que je m'agenouillais déjà pour la mettre dans ma bouche. J'étais obnubilée par ce ventre doux comme le satin, par ces cuisses musclées mais féminines, par cette bouche délicieuse qui m'avait apporté tant de plaisir et par cette manière qu'elle avait d'onduler le bassin comme si elle baisait une chatte ! Je pris son manche à deux mains et je le suçai comme s'il s'agissait de la fontaine de jouvence. Je voulais qu'elle me culbute toute la nuit, qu'elle me gicle à la tronche ! Je comprenais l'attitude de mes amies maintenant, quand on connaît le sexe, le vrai et pas seulement les petites branlettes dans les toilettes, tout le reste devient secondaire. Pour rien au monde, pas même pour voir les pyramides de Gizeh, je ne souhaiterais quitter cette chambre !

Le fait que cette douce créature ait déjà été de genre masculin m'excita terriblement, ce qui me valut un autre excès de jus entre les cuisses. Je me plaçai à quatre pattes pour sucer ce membre imposant et je caressai ma chatte jusqu'à l'orgasme. Cette femme était une vraie source d'exaltation ! C'est à ce moment-là qu'une silhouette apparut dans l'embrasure de la toilette. Je cessai de pomper et je regardai l'homme qui nous observait avec amusement. Ma maîtresse me fit signe de continuer et je m'exécutai tandis que l'homme s'approchait de nous à pas de loup. Il embrassa les lèvres de ma maîtresse et glissa ses mains dans son décolleté tout en me passant une main dans les cheveux. Je lui lançai un regard suppliant qu'il décoda aussitôt !

- Tu veux ma bite ma belle ? Tu veux que je te baise, ou bien que je te sodomise ?

Ce n'était pas une question. Le type disparut derrière mon dos et je sentis sa langue me lécher le dos et descendre jusqu'à mon anus. Je me foutais royalement du trou qu'il prendrait, j'avais seulement envie de sentir une queue en érection dans mes entrailles. Il commença par caser sa queue dans ma chatte, ce qui m'occasionna une petite douleur. Avec cette queue en bouche, je ne pouvais que gémir et froncer les sourcils, ce que ma gentille maîtresse remarqua tout de suite.

- Fais attention, c'est une vierge, ne lui défonce pas les entrailles comme avec moi !

Mais au contraire, la douleur que je ressentais n'était rien en comparaison de l'excitation que cette défonce m'offrait. Je réussis à soustraire ma bouche de l'emprise de sa queue le temps de dire au mec de me défoncer comme jamais. Ma maîtresse s'arrêta net et m'observa un instant...

- Tu me donnes une idée, ma jolie, dit-elle, avant de se diriger vers le lit, ma tignasse à la main. Elle s'étendit sur le dos et me fit venir sur elle, en face à face. Je sentis l'autre me perforer le cul tandis qu'elle allait et venait déjà dans mon con trempé. Cela leur plaisait visiblement et bientôt, ils ne purent se retenir de gicler, l'une dans ma chatte, l'autre au fond de mon rectum ! Nous restâmes ainsi, tel un énorme sandwich de chair, ma maîtresse et son pote imbriqués en moi...

- Et moi, je peux avoir mon dada maintenant ?

C'était l'inconnu. En voyant s'approcher de lui la trans, telle une féline qui repère une proie dans la jungle, son chibre se remit à gonfler. Elle le renversa pour qu'il s'étende, elle lui écarta les cuisses et lui pénétra le cul jusqu'à la garde. Le rictus de douleur n'était qu'un leurre car sa queue brillante de jus qu'il branlait dans sa main semblait aussi dure que tout à l'heure. Elle le défonçait encore plus fort qu'elle l'avait fait avec moi et je pouvais écouter avec délice le bruit juteux que provoquait la collision momentanée de leurs corps.

- Vas-y, encule-moi, salope !

Ces mots obscènes se destinaient certainement à mettre ma maîtresse en furie pour qu'elle le besogne encore plus fort. Ce qu'elle fit, évidemment. Son visage cramoisi refléta bientôt l'imminence d'un orgasme alors que le mec giclait abondamment sur son ventre. Je me précipitai sur le foutre pour y goûter. C'était horrible comme texture, et le goût était légèrement amer... Mais je le léchai quand même, sentant mon petit bouton d'amour se remettre à palpiter. Je me plaçai tête-bêche avec lui car ainsi, il pouvait lécher ma chatte, et en redressant le torse, je pouvais m'emparer des seins de ma maîtresse, ce qui avait augmenté le rythme de la défonce. Elle ferma les yeux, donna quelques coups secs et gémit longuement avant de retomber sur le côté.

Inutile de vous dire que cette nuit-là, mes plans pour la Suisse venaient de changer brusquement...

 

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Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique histoires érotiques gays - Communauté : gay party
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