"Après la fête"
- Voila c'est la campagne ici, je te laisse avec Omar, il est seul car toute la famille est chez nous à la fête, je te verrais demain vers 10h 30 - bonne nuit me lança t il.
Le jeune brun agé de 24 ans trés beau me dirigea vers la chambre avec un beau sourire, il y avait 2 canapés et un matelas sur un grand tapis.
Il me remis un short et m'invita de prendre une douche, je le suivais jusqu'a la salle d'eau sans porte ni rideau, je profitais qu'il avait le dos tourné, je me suis deshabillai et me glissai sous l'eau.
Un petit moment après, Omar etait immobile debout derriere moi, une petite glace en face de moi me servait de retroviseur, il avait les yeux fixés sur mon derriere bombé, je faisais semblant de l'ignoré , mon coeur battait trés fort, tout en caressant entre mes fesses et souvent je me rabaissé comme pour lavé mes pieds afin de lui montrer mon anus épilé , mon coeur battait trés fort, il était encore là à scanner tout ce qui lui plaisait.
Plus tard dans la chambre, Omar sortant de la douche lui aussi se dirigea vers le canapé en face de moi , je le voyai parfaitement grace à la lueur clair de la lune traversant les vasistas, il était trés beau sportif il avait enlevé son tee shirt et son survête il avait gardé que son slip avec une enorme bosse devant ...je faisais semblant de dormir.....
il s'étirait comme s'il était fatigué, puis ses mains se posaient sur sa bosse, il se caressa un moment puis plongea sa main dans son slip comme pour remettre en ordre certaines choses . Doucement je baissai legerement mon drap au bas de mes fesses , je soulevais légèrement mon bassin ,il y avait un silence terrible, j'avais envie je ne l'avais jamais fait et pourtant je sentais mon anus qui me demangé, il se contractait, il s'humidifiait dans l'attente d'une quelque chose. Mon bas-ventre me faisait mal, ma repiration s'entrecoupait, mon sexe était en érection totale, il se passait en moi des choses etranges ... Une envie folle de toucher ce jeunot...
Je gardais mon visage plongé dans mes bras repliés. Je le guettais cet ange, je commençais à avoir encore plus chaud quand le jeune homme venait d'enlever son slip pour se branler librement en fixant mon derriere , mon regard fut attiré par son sexe plaqué jusqu’au nombril. Il m’a semblé gigantesque, incroyablement nervuré de grosses veines gonflées, prêtes à exploser. je relevais encore un peu plus mon bassin et toujours en balançant mes hanches comme pour ouvrir naturellement mon anus et le lui offrir, l'inconnu me rejoignit à quatres pattes lentement comme un vrai felin.
j'avais toujours mon bassin relevé. Un formidable choc émotionnel pour moi qui découvrait une réalité insoupçonnée. Omar voulut se réajuster, mais ma main l’en empêchât, je n'en pouvais plus, en saisissant son sexe qui frémit sous l’étreinte. C’était chaud, dur comme du bois mais incroyablement velouté. Mes doigts, que je ne pouvais pas refermer, formaient au mieux de mes pressions un « C », qui parcourait le membre de haut en bas. J’étais hypnotisé par le côté irréel de ce que je voyais, de ce que je touchais, palpais, soupesais, pressais…un vrai bras , un tronc velouté. Après quelques caresses et avoir échangé de trés tendres baisers, il s'allongea sur le dos, je montais sur lui en califourchon lui offrant mon anus devant ses yeux ,tout près je le sentais ce sexe, tout prés de mes lèvres entrouvertes , ma respiration s'accentue, je caressais du bout de ma langue toute sa longueur, ma bouche ouverte, je faisais plusieurs fois le tour du gland lui donnant de legers coups de dents du haut en bas, je le prenai comme pour esseyer de l'avaler, sa premiere moitié etait au fond de ma gorge, je sentais soudain sa langue dans la raie de mes fesses, Il me caressa ce qui eut le don de me faire frissonner. je lachai ma proie pour aller coller mes levres sur les siennes trés chaudes et douces, nus tout les deux entrelacés, jouant et circulant nos langues pendant un moment.
Comme un eclair, il a été chercher du gel , il m'a lubrifié l'anus comme pour s'amuser, je me suis mis sur lui en califourchon encore une fois ouvert à lui, mes lèvres collés aux siennes , j'avais une trés forte envie. Son autre main était partie en exploration sous mes fesses. Il titilla doucement mon trou avant d'enfoncer un doigts et plus deux dans l'anus chaud humidifié. Je le laissais faire. Mieux, je soulevais mon bassin pour qu'il puisse me pénétrer le plus loin possible. Je me contractais pour mieux l'enserrer en moi. C'était nouveau et surtout très excitant. Les caresses me procuraient un plaisir fou et indéniable , je découvrais que j'étais sensible des fesses, . Il me glissa deux et trois doigts dans le cul, et doucement me demanda s'il pouvait me prendre , et je ne sais pas pourquoi je lui ai dit "oouuii mais doucement" car pour moi c'est la premiere fois. Je me remis à quatres pattes ,
Secrètement j’avais l’angoisse de ce qui allait arriver. Comment, mais comment j'allais pouvoir m'offrir à lui ? Lentement, avec beaucoup de douceur, il entreprit de me dilater encore une fois avec un, puis deux doigts qu’il maniait avec douceur pour détendre le pourtour de mon anus tout neuf, pas du tout programmé pour avaler un zeb pareil.
Il me demanda de m’écarter le plus possible et de me cambrer au plus que je pouvais. J’étais fébrile, de désir et d’angoisse. Il promena son gland énorme de haut en bas de ma raie, en s’attardant sur mon anus. Je perdais tout contrôle en sentant pousser délicatement son sexe sur mon trou. Je poussai moi aussi...
L'homme comprit le message, sachant que je poussai pour recevoir ce beau sexe. Empoignant sa queue, il darda son gland vers mon petit trou.
Le désir de le recevoir avait aussi fait son œuvre et j’étais détendu. Il poussa un peu plus fort qu’à l’ordinaire et le gland ouvrit un peu le chemin. Mais pas sans douleur. Etrange sensation qui mêle jouissance et douleur. Mes gémissements le guidaient dans ses efforts. Il maintenait la pression de la hampe, et de ses mains il écartait sans relâche mes fesses, à droite, puis à gauche, en tirant sur le bord des lèvres qui enserraient le gland.
Son gland s'enfonça doucement. Je contrôlais la pénétration. j'ai eu trés mal. J'arrêtais la progression pour reprendre ma respiration. Je contractais le conduit anal en rythme pour mieux le
détendre.
De ses hanches, il impulsait à son sexe des mouvements latéraux qui participaient également à l’intromission. Sans brusquerie aucune, mon anneau cédait
millimètre par millimètre à la manière dont le boa avale des proies énormes.
Le gland progressa, il passa l'obstacle de l'orifice etroit, le sexe libéré, se projeta d'un coup au plus profond de moi.
Pour la première fois, j'avais un sexe d'homme dans mon cul, je respirais trés fort, La pénétration était profonde, puissante. Je râlais de plaisir. Sa queue était longue et épaisse. Le gland
introduit, le reste bien lubrifié glissa moins douloureusement. Je me sentais plein de lui. Totalement rempli par cette chair turgescente qui commençait à remuer au plus profond de moi,
éveillant une sensation inconnue de jouissance-douloureuse. Je me sentais plein totalement rempli par cette chair chaude qui commençait à remuer au plus profond de moi, éveillant une sensation
inconnue de jouissance, il s'arrêta quelques instant le temps de m'habituer puis doucement continua sa poussée. Je sentais sa hampe disparaître petit à petit dans mon trou. Il commença à me
limer pour une bonne quinzaine de minutes la douleur s'est dissipé se transforma en une extase indéfinissable il accelera son longt va et vient en enfonçant bien au fond , je sentais le morceau
qui glissais en moi avec des coups de lime lentes il accelera encore une fois .Omar devait être lui aussi au bord de l’explosion , il gemissait ,je
m'ouvrais totalement en poussant derriere pour recevoir le membre completement, Il m'amena à l'ultime jouissance. Tout mon corps tressauta, tellement c'était puissant, il cracha son sperme
chaud dans mes entrailles, pendant que moi-même j'éjaculais. Vous me croirez ou pas, mais je jure avoir parfaitement senti dans le même temps deux jets chauds successifs de sperme crachés avec
force.
Il est resté dans mes entrailles pendant une quinzaine de minutes jusqu'à ce que son sexe s'était ramolli. Nous sommes retombés l’un contre l’autre. Son
sexe a débandé lentement, lui encore en moi. Quand il se dégagea, le sperme coula de mon trou ouvert, portant encore la forme de la queue de Omar .
J’ai gardé durant une semaine la délicieuse sensation de ma dilatation, réveillée par chaque contraction volontaire.
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