Mardi 12 janvier 2 12 /01 /Jan 00:45
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"L’INTERNAT"

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Mon lit était à droite de la porte d’entrée de notre chambre.
Le sien était en face, a gauche.
Pendant 2 ans, on a dormis dans la même chambre.
Et pourtant au début, c’était pas simple, on se parlait pas ou peu. Il y’avait un froid glacial entre nous. Très peu de mots échangés, très peu de regards envoyés. Puis au fil du temps, on a appris a se connaître, a rire, a délirer. On mangeait ensemble, au self, chaque midi et chaque soir.
On s’échangeait des habits, bref, on s’aimait bien.
Jérémy, était du style très calme, très posé, alors que moi je suis plutôt fou, exubérant, et spontané. Il était toujours bien habillé, bien coiffé. Très studieux, il voulait décrocher son BEP coiffure.
Etre le meilleur de la classe, mais sans se prendre la grosse tête.
Les soirs on rentrait ensemble a l’internat, on étudiait, on s’interroger chacun son tour pour les interros diverses du lendemain. Puis après on allait à la douche.
J’adorais le regarder se déshabiller, pour mettre sa serviette autour de son bassin, le voir nu m’excitait.
Il avait un tatouage en bas du dos, qui ressemble a une feuille d’érable je pense. Il était musclé comme j’aime, blond cendré, yeux vert.
Des rondeurs, où je rêvais de passer ma langue .Son fessier, m’a fait fantasmer plus d’une fois. J’aimais le voir avec sa serviette autour de lui.
Même comme ça, je distinguais, la forme de son sexe.

Il était toujours très long a se préparer pour aller se laver.
Mais quand il était prêt on rejoignait nos douches dans un brouhaha presque insupportable pour les autres.
Chacun se lavait de son coté et on se parlait de l’autre côté du mur qui nous séparait.
On trouvait le moyen de rire, aux éclats même sous la douche. Dés notre sortie, on rejoignait notre chambre, on s’habillait si on devait sortir.
On recommençait des discussions sans fin, on refaisait le monde.
Il adorait parler, il a voix très légère, très fluide.
On aurait cru que les mots sortaient sans qu’il ait besoin d’articuler. Je prenais le plaisir de l’écouter, jamais je me lassais.

En fait, le quotidien qu’on avait adopté était une routine fascinante, car ni l’un, ni l’autre montrait un signe de faiblesse a cause de l’habitude que l’on avait apporté l’un a l’autre. Mais jusqu’au jour où il a voulu changer la donne….
C’était mardi soir, d’habitude, il m’attendait en bas du bâtiment des salles de cours.

Ce jour-là, je me suis retrouvé tout seul.
J’ai traversé la cour, puis le parking de l’internat.
Je montais le premier étage, puis le deuxième, je pris le couloir, pour rejoindre ma chambre.
La porte était ouverte, je me suis dis « ah, il est déjà entré ».
Jérémy était sur son lit, une main sur son classeur, l’autre sur sa braguette. Il me dit « excuse moi je ne t’ai pas attendu, parce que le surveillant m’a dit que ma mère avait appelée, j’ai donc voulu la joindre pour se savoir ce qui se passait ».

En fait rien de grave, je lui dis qu’il n’y a aucun problème.
J’enlève ma veste, mon pull, mon jean, je décide d’aller me laver.
« Tu vas à la douche » dit-il.
« Oui, comme ça ce sera fait ».
« Attends moi, on y va ensemble », rajoute-t-il.
Il se déshabille, je le scrutais doucement, j’adorais regarder son bassin.
Nous voilà partis a la douche . Comme d’habitude, on mettait un bordel monstre chacun de notre coté.
Je sors de la douche en premier, je frappe à sa porte. Il sort, la serviette autour de lui. Il était tout frais.
On retourne dans la chambre, j’entre le premier, il me suivait de très prés. Il ferme la porte, je me retourne, il avait retiré sa serviette.
Il bandait.
« Ca te tente ? « me demande-t-il.
Mes souvenirs sont vagues, je sais a peine ce que j’ai répondus à cet instant. Je me suis approché, je me suis mis a genoux, et je l’ai sucé.
Il était contre la porte de la chambre . Il tenait la poignée, en faisant attention que personne ne rentre, sanspermission.
J’avais faim de sexe, depuis le temps que j’y attendais .J’ai pris le temps de languiser ma langue sur son sexe si dur, si frais.
Je passais mes mains sur ses testicules, elles étaient parfaites, bien rondes, bien dessinées.
Je caressais ses cuisses. Je rêvais d’une seule chose c’en d’avoir son liquide blanchâtre dans la bouche.
Il mit ses mains sous mon menton, pour me faire comprendre de me lever.
Il m’embrasse, tout en retirant ma serviette. Je bandais aussi.
Il m’embrassait dans le cou, il me branlait . J’avais cet extase en moi. Je devenais fou, je n’arrivais plus a suivre tant je ressentais du plaisir.
A partir de là, tout a était très vite.
Il me retourna, se baissa, commença a mouiller mon orifice du bout de sa langue.
Il enfilait un doigt, deux doigts . On était accroupis au milieu de la chambre. Toujours devant la porte.
Il ne pouvait plus attendre, son envie était trop forte.
Il enfila son abdomen, doucement, très doucement, je le sentais encore se durcir dans mon orifice.
Il y’avait mis beaucoup de légèreté, son va-et-vient était irréprochable …Il faisait tourner son gland sur les bords de mon entrée qu’il avait soigneusement dilatée.
Il se couchait sur moi, son sexe claquait.
Pas un seul gémissement sortait de notre bouche, et pourtant c’était pas l’envie qui nous manquait.
Il gardait son allure, on suait, et, dans l’oreille, il me disait « j’ai envie de jouir, j’ai vraiment envie ». Mais il continuait, il se retenait, il voulait garder le plaisir . Mais il n’en pouvait plus.
Il se retira doucement en y remettant un doigt délicatement. Il se mit à jouir sur mon arrière train, rien qu’à la fluidité de son sperme, j’ai constaté, qu’il avait eut en lui, une envie de me baiser et une excitation intense qui durait depuis trop longtemps.
Il essuyait doucement son jus avec son gland, se recoucha sur moi, m’embrassa.
Pris mon sexe dans sa main, il me branla a nouveau.
A la chaleur de la paume de sa main, je jouissais sur le sol . Il caressait mon sexe, tout en nettoyant mon gland avec ses doigts.
Se mit les doigts dans la bouche, puis caressa la mienne.
On échangeait de longs câlins et de longs essoufflements.
Il se leva, s’habilla.
Je fis de même.
Le surveillant ouvra la porte, sans frapper, pour nous demander, si les lunettes de vue qui avaient été oublier dans les douches, n’étaient pas a l’un de nous.On l’avait échappé belle .Ouf !

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philippe2belgique
Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique histoires érotiques gays - Communauté : gay party
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