Baptisé «Pride House» (Maison de la fierté), ce lieu de rencontre permettra aux athlètes gays et lesbiens de se retrouver entre eux, avec leurs parents et leurs amis. Pour faire quoi ? Parce qu'il n'y avait pas d'homos avant dans le sport ? Pour qu'ils s'affichent en tant que sportif gay ou lesbienne ? A part de leur équipe ? Mmmm....Soit...

L'endroit comprendra une aire de repos, un bar et des téléviseurs, ainsi qu'un espace pour les interviews avec les journalistes. La Pride House restera ouverte du 8 février au 21 mars, soit durant les JO, mais aussi les Jeux paralympiques et la WinterPride ( La gay pride sportive).

Les initiateurs du projet espèrent «pouvoir jouer un rôle de catalyseur pour faire évoluer les mentalités». Dean Nelson a déclaré « Au Canada, les gays peuvent vivre pratiquement normalement, mais un athlète homosexuel n'a absolument pas la même liberté».

Le pavillon rique d'être bien vide : sur les quelque 10000 athlètes présents aux J.O de Pékin, seul le plongeur autralien Matthew Mitcham ainsi que neuf athlètes lesbiennes étaient ouvertement homosexuels. YouuuuOuu, ça va être la fête !

La visibilité à tout prix ? Les Gay games vont ils penser à faire un pavillon hétéro ? Et bi et trans, et intersexe ???