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Jeudi 22 avril 4 22 /04 /Avr 21:23

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Les homosexuels déportés seront

représentés à la Journée du souvenir

 

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Une association homosexuelle participera officiellement à la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, dimanche. Des célébrations auront lieu à Paris, Mulhouse, Toulouse, Montpeller, Saint-Etienne, Nancy et Lille.

 

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Les Oublié(e)s de la mémoire, association civile homosexuelle du devoir de mémoire, participeront officiellement, dimanche, à la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, a-t-elle annoncé jeudi dans un communiqué.

Cette association prendra part à l'hommage rendu à tous les déportés et représentera «le souvenir de la déportation pour motifs d'homosexualité», a-t-elle précisé. Elle consacre une page sur son site à l'agenda des célébrations à Paris, Mulhouse, Toulouse, Montpeller, Saint-Etienne, Nancy et Lille.

 

Le MDH plus critique
De son côté, le Mémorial de la Déportation homosexuelle (MDH), «invite le plus grand nombre de personnes à rendre hommage aux déportés pour motif d'homosexualité à l'occasion de la 65e journée du souvenir de la Déportation».

Le MDH fait cependant remarquer que les associations homosexuelles et leurs sympathisants «ne sont pas toujours bien acceptés par l'ensemble des participants» à certaines cérémonies du souvenir. «Certaines associations homosexuelles devront s'accomoder, cette année encore, d'un accueil contrasté dû à des réalités locales indépendantes de leur volonté», regrette le MDH.

 

10.000 déportés pour motif d'homosexualité
Au cours de la Deuxième Guerre mondiale, 63 français ont été arrêtés pour des motifs d'homosexualité et la plupart déportés, précise Philippe Couillet, président des Oublié(e)s de la Mémoire.

Dans l'ensemble de l'Europe, quelque 100.000 personnes ont été inquiétés pour des motifs d'homosexualité et 10.000 déportés, 60% étant morts dans les camps, a-t-il ajouté.

 

Une «Rue Pierre-Seel» à Mulhouse dès le 15 mai
La reconnaissance de la déportation pour motif d'homosexualité poursuit son chemin, assurent par ailleurs l'association, qui avait déjà obtenu une rue Pierre-Seel à Toulouse (photo et plan). Une victoire qui est aussi celle de Jean Le Bitoux, décédé mardi, qui avait accompagné l'ancien déporté dans le récit de sa vie.

Ainsi, le 15 mai sera dévoilée la première plaque de France honorant la mémoire de Pierre Seel. Elle sera placée sur la façade du théâtre municipal de Mulhouse, côté square Steinbach (plan).

Ce sera l'occasion d'une manifestation commémorative traitant de la déportation des homosexuels, ouverte au public, avec projection publique d'un film documentaire sur le témoignage d'homosexuels déportés, dont Pierre Seel, ainsi qu'un concert vocal des choeurs gays de Paris et Strasbourg.

 

Photo: le site de l'ancien camp du Struthof, en Alsace (DR).
Article mis à jour avec la réaction du Mémorial de la déportation homosexuelle.

 

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Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique infos gays - Communauté : Communauté gay
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Jeudi 22 avril 4 22 /04 /Avr 21:37

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Jean Le Bitoux, fondateur de

«Gai Pied», est mort

 

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Militant de la cause homo depuis toujours, fondateur de la première revue qui a donné de la voix aux revendications LGBT, Jean Le Bitoux est mort mardi à l'âge de 62 ans.

 

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C'est une page de l'histoire militante homosexuelle en France qui se tourne: Jean Le Bitoux est mort hier à l'âge de 62 ans, a annoncé aujourd'hui le site Yagg.

 

 

Ce journaliste né à Bordeaux fut en effet le fondateur du journal Gai Pied en 1979, avec Gérard Vappereau, première revue gay vendue à grande échelle dans les kiosques et le circuit officiel de distribution. Un mensuel militant, engagé, qui sert de porte-voix à la cause des homos. «Pour une fois, on était comme tout le monde car on avait notre organe d'expression. Gai Pied était à l'image de notre vie réelle et non pas de notre vie fantasmée», se rappelait ainsi Luc Marcelot, 55 ans, lecteur de la première heure, interviewé l'an dernier par TÊTU.

Comme Libération pour l'extrême gauche, Gai Pied est ancré dans les débats politiques et idéologiques du moment, suivi de près par les intellectuels comme Jean-Paul Aron, Jean-Paul Sartre ou Michel Foucault, qui écrivent dans ses pages. «Le soutien de tous ces intellectuels nous a permis d'éviter la censure politique et d'acquérir une légitimité», rappellait Jean Le Bitoux. D'ailleurs, plusieurs personnalités politiques de premier plan s'y exprimeront, affichant ainsi leur progressisme.

 

D'autres combats
Si le journal a vécu jusqu'en 1992, Jean Le Bitoux quitte l'aventure en 1983, lorsque Gai Pied devient hebdomadaire et perd un peu de son souffle militant. Le changement de formule se fait contre l'avis de son fondateur et de nombreux journalistes, qui démissionnent avec lui. «Le Gai Pied tomba dans le guêpier du consumérisme, de la désinformation et du parisianisme», résumera plus tard son fondateur.

Mais cet infatigable militant continuera de se battre sur d'autres fronts, en participant à la lutte contre le sida au sein de Aides, dès 1985, puis en militant dans les années 90 pour la reconnaissance de la déportation homosexuelle lors de la Seconde Guerre Mondiale.

Photo DR.

un article Yagg, Têtu.

Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique infos gays - Communauté : Communauté gay
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Jeudi 22 avril 4 22 /04 /Avr 21:50

Un article de Têtu

 

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Tout ce qu'il faut savoir sur la journée

très gay de Disneyland Paris

 

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Le 29 mai, les homos garçons et filles sont invités chez Mickey pour la journée spécial Gayday. Au programme: des attractions, peut-être des rencontres, le tout suivi d'une soirée Happy Pulse à Paris. L'un des organisateurs nous livre tous les détails sur cette journée.

 

Informaticien à la ville, Benoît (ci-contre) est l'un des organisateurs du Gayday à Disneyland Paris, le 29 mai. Comment ça se passe, une journée pour les gays dans un parc d'attractions? Il répond à nos questions.


TÊTU: Quel est le concept du Gayday de Disneyland?
Benoît: C'est une journée privilégiée dans le parc pour les gays, mais aussi bien sûr pour les bi, lesbiennes et trans. Nous nous réunissons pour 24 heures de détente, de 9h le samedi matin à 9h le lendemain. Il n'y a ni mot d'ordre ni revendications, on est juste là pour s'amuser, pour profiter.

 

Le Gayday existe depuis déjà plusieurs années. La recette fonctionne bien?
On est loin des 100 000 participants qu'accueille le Gayday aux Etats-Unis, c'est certain! Mais là-bas l'événement existe depuis plus de 10 ans, et ils sont plus nombreux que nous! Pour l'instant une centaine de personnes sont inscrites, et sur notre page Facebook, plus de 200 participants ont confirmé qu'ils nous rejoindraient le jour J. C'est déjà pas mal, et il reste encore un peu plus d'un mois...

 

Il paraît qu'il y a des nouveautés dans l'organisation?
Oui, les années précédentes chaque participant se débrouillait seul pour le transport et l'achat des tickets, et ce n'est qu'une fois dans le parc qu'il retrouvait les autres. Nous avons donc choisi de proposer cette année des «pass tout compris»: nous gérons tout, des transports aux entrées, il n'y aura plus qu'à se laisser guider! Par exemple, nous avons prévu des navettes pour les gens qui viennent de Lille, et nous proposons des tarifs préférentiels dans certains hôtels, pour ceux qui viennent de plus loin.

 

Qu'est-ce qui attire les homos chez Disney? Les attractions? Le côté «monde magique»?
Il n'y a pas un seul type de gay, ça dépend! Bien sûr, si vous voulez trouver des gays dans le parc, allez plutôt à la parade, là où défilent les chars et les personnages en costumes. Mais en ce qui me concerne, par exemple, je suis fan des attractions. Depuis 5 ans le parc a gagné en maturité, il y a beaucoup plus d'attractions prévues pour les adultes. Comme la Tour de l'horreur, une attraction récente qu'il faut absolument tester!

 

Est-ce qu'il y a une attraction qui plaît particulièrement aux gays?
Oui, bizarrement Buzz Lightyear fait un carton chez les homos. C'est un jeu où vous devez viser des cibles avec un pistolet laser. La direction s'en étonne car à la base c'était un jeu prévu pour les enfants, et finalement ça plait beaucoup plus aux adultes. Du coup, nous avons prévu un concours, l'équipe qui récoltera le plus de points repartira avec un petit lot.

 

Comment la direction de Disneyland accueille cette manifestation?
Nous avions des appréhensions mais ce n'était vraiment pas justifié. Ils ont tout de suite aimé le concept et ils nous facilitent les choses. Nous avons trois personnes qui s'occupent spécialement de nous et nous aurons même un local à l'entrée du parc. De manière générale, Disneyland est une entreprise très friendly puisqu'elle a même une formule PACS.

 

Avez-vous prévu un code vestimentaire pour pouvoir vous retrouver à l'intérieur du parc?
Non, on préfère éviter les quiproquos! Si on dit «tout le monde porte un tee-shirt rouge» (comme aux Etats-Unis, voir la photo Ndlr), le pauvre monsieur qui ce jour là, porte aussi un tee-shirt rouge, pourrait avoir des surprises! (rires) En revanche on distribuera un bracelet. Bien sûr, le port de ce bracelet n'est pas obligatoire, chacun sera libre. Tout comme pour le reste de la journée. Il y aura 4 points de rencontres mais le reste du temps les participants iront là où bon leur semble, ce n'est pas une colonie de vacances avec un parcours imposé.

 

Est-ce-que des couples se forment à l'issue de cette journée à sensation?
Je ne sais pas, mais pourquoi pas! Le but de la journée c'est quand même la rencontre, amicale ou plus... Chacun vient y chercher ce qu'il veut! Pour éviter les malentendus le bracelet sera «interactif»! C'est un clin d'oeil, mais vous pouvez choisir plusieurs type de bracelets, pour «amitié», «amour», relation un peu plus «chaude» et pour préciser si vous serez à la soirée ou non!

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Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique infos gays - Communauté : Communauté gay
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Dimanche 25 avril 7 25 /04 /Avr 18:01

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Le couple homosexuel français du Cher aurait été enterré vivant

 

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Une reconstitution a permis d'éclaircir les causes de la mort de ces deux hommes, dont les corps ont été retrouvés au fond d'un trou le 4 juin 2009. Deux hommes sont mis en examen dans cette affaire, dont le mobile ne serait pas l'homophobie.

 

C'est un élément sordide qui s'ajoute à l'instruction de l'enquête sur la mort de deux deux hommes vivant en couple, dans un village du Cher. Disparus le 7 mars 2009, leurs corps avaient été retrouvés trois mois plus tard à La Charité-sur-Loire, dans la Nièvre. Et selon les dernières déclaration de l'un des hommes mis en examen dans cette affaire, les deux hommes sont morts dans des circonstances épouvantables: ils ont été enterrés vivants.

«Eléments confirmés par l'autopsie»

Luc Amblard, 56 ans, et Guy Bordenave, 39 ans, étaient entrepreneurs de spectacles, et vivaient à Couy, un petit village de 360 habitants. Ils avaient été retrouvés le 4 juin assis, ligotés, bâillonnés et enterrés dans un trou de 1,20 m à 1,50 m de profondeur près de la Loire.

Et «selon un des deux mis en examen, les victimes auraient été ensevelies vivantes et seraient donc décédées étouffées», a indiqué Eric Mathais, procureur de la République de Bourges. «Ces éléments sont confirmés par l'autopsie. On n'a trouvé ni trace de coup de feu, ni trace de violence, ni alcool, ni drogue. Les victimes se sont vues mourir», a ajouté le magistrat à l'issue d'une journée de reconstitution pour «vérifier les versions des deux accusés, lesquelles divergent».

Mobile crapuleux
Les deux hommes mis en cause, âgés de 53 et 37 ans, dont l'un connaissait l'une des victimes, avaient été interpellés le 1er avril 2009, l'un dans un village du Cher, le second dans les Landes. L'un des deux avait indiqué aux enquêteurs l'endroit où trouver les corps.
 
Les deux hommes, connus des services de police, ont été mis en examen et écroués pour «enlèvement, séquestration, suivis de mort». Le mobile pourrait être crapuleux ou avoir comme origine la haine nourrie à l'égard d'une des deux victimes, toujours selon le parquet de Bourges.

Procès dans un an
En effet, les premiers éléments de l'enquête laissaient entrevoir un mobile lié à l'argent. Les deux mis en examen sont arrivés au domicile du couple le samedi 7 mars 2009, en fin d'après-midi. Aussitôt les victimes ont été attachées, l'une frappée avec un fusil. Puis la maison a été fouillée, des cartes bancaires ont été dérobées et utilisées, et des ordinateurs volés. Mais le parquet a aussi découvert que la soeur de l'une des victimes avait une relation avec l'un des deux mis en cause et le couple de Couy était contre cette liaison. Le mobile d'homophobie n'est en tout cas pas mis en avant par le procureur de Bourges.

Le procès pourrait se tenir dans un an. Les deux hommes encourent la réclusion criminelle à perpétuité.

 

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Par philippe2belgique - Publié dans : Boutique infos gays - Communauté : Communauté gay
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Dimanche 25 avril 7 25 /04 /Avr 18:20

Un article de Têtu

 

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Hexagone Gay: un site pour transmettre la mémoire homosexuelle

 

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INTERVIEW. Mis en ligne au début du mois de mars, Hexagone Gay retrace un siècle d'histoire LGBT française région par région, depuis le 19ème siècle grâce à des témoignages, des archives, des biographies. TÊTU a rencontré Marc, initiateur du projet.

 

 

Dans la vie, Marc (photo) est cadre dans une régie publicitaire. Hexagone Gay est la réalisation d'un des projets qui lui tient le plus à coeur: mettre à disposition des internautes les témoignages, les archives, les récits biographiques et historiques qu'il a collectés et qui racontent un siècle d'histoire homosexuelle. Il y consacre aujourd'hui tout son temps libre.

 

TÊTU: Pourquoi ce site?
Marc: Je me suis toujours dit qu'on avait une mémoire à faire partager et qu'elle ne se transmettrait pas de père en fils, donc j'ai pensé à un moyen de la raconter. C'est un projet de longue date puisque j'ai commencé il y a une trentaine d'années. J'ai mené une vie de noctambule, beaucoup voyagé, et commencé très tôt un petit répertoire des établissements où je suis allé. Et depuis 2005 j'ai commencé, avec d'autres personnes, à rassembler tout ce que j'avais, et rédiger le site. Notre objectif c'est de mettre noir sur blanc ce qui se transmet de bouche à oreille.


A part vos notes quelles sources avez-vous utilisées?
Nous avons beaucoup de témoignages de personnes âgées, certains ne sont d'ailleurs plus en vie. Nous avons également consulté les archives des villes où nous sommes allés, ainsi que celles d'associations LGBT, puis lu des ouvrages et des thèses sur le sujet. Bien sûr, dans certaines régions nous avons eu plus de mal à trouver des documents. D'ailleurs quand je parle d'archives, à part à Lyon où la bibliothèque a constitué un fond très intéressant sur l'histoire LGBT, c'est surtout dans les rubriques criminelles que l'on retrouvait des traces d'anciens établissements.


On vous a laissé un accès libre à tous ces documents?
Oui l'accès a été facile, sauf pour les archives lesbiennes. Déjà elles sont moins nombreuses mais en plus il vaut mieux être une femme pour les consulter. Du coup, j'ai laissé cette tache à une jeune femme qui fait partie de l'association.

Qu'est ce qu'il y a de marquant dans ce que vous avez vu?
En fait, on se rend compte que tout est fragile. Dans les années 20 et 30 l'homosexualité était assez bien tolérée, et tout a basculé après la seconde guerre mondiale. Puis dans les années 70, début 80 il y a eu une nouvelle ouverture, la jeunesse du baby-boom avait besoin de sortir et beaucoup d'établissements sont nés à cette époque. Mais avec le sida il y a eu un retour de bâton considérable, dès la fin des années 80. Depuis on assiste à une lente mais certaine renaissance. Et même si aujourd'hui on imagine mal un retour en arrière violent, il est important de faire passer un message aux jeunes gays. Pour qu'ils gardent à l'esprit que leur liberté a été gagnée lentement et durement et que tout peut basculer très vite.



Est-ce-que vous avez eu des surprises?

Disons que certaines régions qu'on ne soupçonne pas, ont été, à certaines périodes, très marquées par la vie LGBT. Par exemple, en Alsace dans les années 30, il y avait une vie gay très organisée. Ce n'était pas des associations comme maintenant, mais une vraie vie sociale avec des rencontres tous les week-end, des sorties... Toulon a aussi été un très gros «spot» gay, des homos venaient du monde entier pour s'encanailler à Toulon, c'était surtout lié à la prostitution qu'offrait cette ville portuaire. En fait, à part certains endroits incontournables sur la côte d'Azur et Paris, les centres de gravité homosexuels ont évolué avec le temps.


Il y a déjà 300 pages sur le site, quels sont vos prochains objectifs?
Ce n'est pas fini, loin de là! Le site a vocation à être vivant, nous recevons toutes les semaines de nouveaux témoignages et nous espérons en recueillir encore. Et puis, pour le moment nous avons traité l'histoire LGBT, du 19e siècle aux années 80. Nous avons donc encore les années 90 à raconter, et nous commençons à récupérer les documents actuels pour dans 20 ans!

 

Tous ces documents sont à retrouver sur(lien):

www.hexagonegay.com

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