Mercredi 23 septembre
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Injustice avec la boutique infos gays:
Un syndicat policier soutient Christophe Bridou, victime de fausses accusations
La branche policière de la CFTC s'émeut à son tour que Christophe Bridou, ce policier
municipal gay discrédité et déchu de ses droits les plus fondamentaux -apparemment par homophobie- n'ai toujours pas été réhabilité.
C'est un soutien de poids qui s'ajoute, avec l'équipe de SOS homophobie notamment, à ceux qui se sont mobilisés pour la réhabilitation de Christophe Bridou comme policier municipal à Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise).
Le Syndicat des policiers municipaux de la Confédération française des travailleurs chrétiens (SNPM-CFTC) dénonce à son tour la «situation ubuesque qu'affronte Christophe Bridou», ex-policier municipal gay accusé à tort de pédophilie, escroquerie et vol. Le calvaire du policier discrédité Son histoire avait ému, en 2007, lorsqu'on avait découvert le calvaire subi par ce chef de la police municipale à partir de 2001.
Après avoir découvert son homosexualité, ses supérieurs l'accusent de vol de matériel et de stocker une image pédophile sur son ordinateur de bureau – pourtant partagé… Licencié, il perd notamment le droit de visite de son fils, et se retrouve SDF -une situation dont il n'a toujours pas fini de se remettre.
Aujourd'hui encore, malgré un non-lieu concernant les accusations abusives de pédophilie, escroquerie et vol, le tribunal administratif a refusé sa réintégration et toute indemnisation. Une situation qu'il décrit dans son essai paru l'an dernier, Calomnie (ci-contre). «Inacceptable» Aujourd'hui, le SNPM-CFTC, engagé aux côtés de Christophe Bridou, réclame donc «sa réintégration immédiate et la réparation intégrale du préjudice subi. Il est inacceptable pour notre organisation syndicale que l’innocence d’un homme soit ainsi ignorée, malmenée et piétinée.»
Le syndicat s'insurge que Christophe Bridou ne soit «ni réintégré, ni indemnisé alors même que le commissaire du Gouvernement abondait dans le sens de Christophe Bridou à l'audience du tribunal administratif de Cergy, qui l'a entendu le 10 juin 2008».
Devant la Cour des droits de l'homme «Pour quelles raisons alors la juridiction administrative a rejeté les demandes de Christophe Bridou?» s'interroge le syndicat, qui reprend les accusations de Christophe Bridou sur «de fortes pressions politiques exercées», Nelly Olin, la maire de Garges-lès-Gonesse à l'époque (elle a subitement démissionné en 2007) ayant été ministre de l'Ecologie.
Christophe Bridou n'a pas baissé les bras. Il attend la décision de la Cour européenne des droits de l'homme qu'il a saisie, concernant la longueur de l'instruction pénale dont il a fait l'objet. Et il a monté un Comité de défense pour tenter d'obtenir enfin une réhabilitation, chargé de recueillir les soutiens
C'est un soutien de poids qui s'ajoute, avec l'équipe de SOS homophobie notamment, à ceux qui se sont mobilisés pour la réhabilitation de Christophe Bridou comme policier municipal à Garges-lès-Gonesse (Val-d'Oise).
Le Syndicat des policiers municipaux de la Confédération française des travailleurs chrétiens (SNPM-CFTC) dénonce à son tour la «situation ubuesque qu'affronte Christophe Bridou», ex-policier municipal gay accusé à tort de pédophilie, escroquerie et vol. Le calvaire du policier discrédité Son histoire avait ému, en 2007, lorsqu'on avait découvert le calvaire subi par ce chef de la police municipale à partir de 2001.
Après avoir découvert son homosexualité, ses supérieurs l'accusent de vol de matériel et de stocker une image pédophile sur son ordinateur de bureau – pourtant partagé… Licencié, il perd notamment le droit de visite de son fils, et se retrouve SDF -une situation dont il n'a toujours pas fini de se remettre.
Aujourd'hui encore, malgré un non-lieu concernant les accusations abusives de pédophilie, escroquerie et vol, le tribunal administratif a refusé sa réintégration et toute indemnisation. Une situation qu'il décrit dans son essai paru l'an dernier, Calomnie (ci-contre). «Inacceptable» Aujourd'hui, le SNPM-CFTC, engagé aux côtés de Christophe Bridou, réclame donc «sa réintégration immédiate et la réparation intégrale du préjudice subi. Il est inacceptable pour notre organisation syndicale que l’innocence d’un homme soit ainsi ignorée, malmenée et piétinée.»
Le syndicat s'insurge que Christophe Bridou ne soit «ni réintégré, ni indemnisé alors même que le commissaire du Gouvernement abondait dans le sens de Christophe Bridou à l'audience du tribunal administratif de Cergy, qui l'a entendu le 10 juin 2008».
Devant la Cour des droits de l'homme «Pour quelles raisons alors la juridiction administrative a rejeté les demandes de Christophe Bridou?» s'interroge le syndicat, qui reprend les accusations de Christophe Bridou sur «de fortes pressions politiques exercées», Nelly Olin, la maire de Garges-lès-Gonesse à l'époque (elle a subitement démissionné en 2007) ayant été ministre de l'Ecologie.
Christophe Bridou n'a pas baissé les bras. Il attend la décision de la Cour européenne des droits de l'homme qu'il a saisie, concernant la longueur de l'instruction pénale dont il a fait l'objet. Et il a monté un Comité de défense pour tenter d'obtenir enfin une réhabilitation, chargé de recueillir les soutiens
Par philippe2belgique
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Publié dans : Boutique infos gays
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Communauté : Communauté gay
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